Moi j’m’emmène au pays des rêves,
Là où les jours ne sont pas pareils,
Si tu veux venir dans ma trêve,
Pour goûter à ces merveilles.
J’ouvrirai ma porte cette nuit,
Dans l’espérance de t’voir sourire
Te voir dormir sur le tapis,
Et décrocher juste un soupir.
J’sais pas ce que j’ai quand j’y pense,
Idées qui traversent mon esprit,
Comme un grand brouillard intense,
Qui nourrit mes longues insomnies.
Noir ou blanc j’ai toujours le choix,
De fuir vers une autre contrée,
Car j’crois que tu ne comprends pas,
Qu’il y a là le verbe Aimer.
C’est pas grave, ca passera,
C’est éphémère on le sait bien,
Comme la nuit quand il fait froid,
Ne t’inquiète pas ce n’est rien.
Pas même l’idée de t’oublier,
Comme la beauté de ces nuits,
Juste celle de m’envoler,
Pour fuir un peu plus cette envie.